Guillaume, Jérémy et Benoît à l'arrivée de la 6000D à Aime

Guillaume, Jérémy et Benoît à l'arrivée de la 6000D à Aime

Entre le 21 octobre 2012, date de notre (première) arrivée à la Redoute et aujourd'hui, il s'en est passé des choses... Après 62 heures et une poignée de minutes, nous aurions pu dire "stop !", "basta!" ou encore "qu'est-ce qu'on s'emmerde (oups) à souffrir à comme ça ?" Eh bien, non !

En 2013, la reprise s'est effectuée à des rythmes bien différents avec, au final, une échéance estivale, la 6000D, qui a séduit Jérémy dit le "pistard".

Avant ce "gros morceau" ? Le marathon de Madrid pour certains (Jérémy : 3h19'57 ; Benoît : 3h20'54), aussitôt suivi de Tout Angers Bouge pour tous, ou presque : un premier pas sur la planète trail pour Mickaël, parfois plus inspiré sur les sentiers que dans les 16,5 mètres (on dit ça, on ne dit rien !).

Benjamin ? Laissons-le encore digérer son marathon, réalisé à La Rochelle en... 2011 ! Quoi, ça fait déjà deux ans ? Et alors ?

Au départ de la 6000D, donc : Guillaume, Jérémy et Benoît. C'était un 27 juillet, sous un véritable cagnard. L'objectif de cette "Course des Géants" (désolé, c'est vraiment son surnom !) : grimper en haut du glacier de La Plagne et redescendre (63 km ; 4000 m D+). Bilan : on a souffert, vraiment, et encore jonglé avec les barrières horaires, comme sur la dernière Diagonale. A croire que nous sommes faits pour ça... Mais l'essentiel est là : le t-shirt de finisher est toujours dans nos armoires.

Le lendemain, le "gamin" (Mickaël) s'est fait les dents sur le P'tit Tour des Fiz (30 km ; 2400 m D+), accompagné de Fabi'. Ou comment entrer doucement dans la danse... - B. L.

Moi, pendant ce temps-là, je reste dans mon canap'... Ça dérange quelqu'un ?

Benjamin Plessis, le 27 juillet 2013

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